. Nous, P. Au-dr, and . Posso, Cette recherche a été financée par le Centre National de la Recherche Scien tifique. La participation de L. Emmons a été soutenue par des bourses de la National Geographie Society et de la

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, Pseudospondias longifolia Engl. 2. Artabotrys sp

P. Sp,

, Polyalthia suaveolens Engl. et Diels 5. Uvaria klaineana Engl. et Diels 6. Xylopia aethiopica (Dunal) A. Rich 7. Xylopia quintasii Engl

, Picralima nitida (Staph) Th et Dur

B. Pycnobotrya-nitida,

, Santiria trimera (Oliv.) Aubrév

P. Crudia-gabonensis and D. Wild,

, Distemonanthus benthamianus Bail!

, Griffonia physocarpa Bail!

, Castanola paradoxa (Gilg) Schelleb

, Dipteropeltis poranoides Hallier 20. Neuropeltis acuminata (P. Beauv.) Benth

E. Dichapetalum-integripetalum,

E. Dichapetalum-monbuttense,

. Tetracera-alnifolia-wild,

M. Alchornea-floribunda, Arg. 25. Croton oligandrus Pierre 26. Macaranga barteri Muell

, Plagiostyles a/ricana (Muel!. Arg.) Prain

, Uapaca paludosa Aubr. et Leandri 29. /1/igera pentaphylla Welw

, Strychnos aculeata Solered 32. Cylicodiscus gabunensis

R. Entada-gigas-fawcett, Entada scelerata (A. Chev.) Gilbert et Boutique 35. Piptadeniastrum africanum Brenan 36. Coelocaryon preussii Warb 37. Pycnanthus angolensis (Welw.) Exell 38. Scyphocephalium ochocoa Warb, vol.34

W. Staudtia-gabonensis,

B. Coula-edulis,

S. Heisteria-parvifolia,

. Strombosia-grandifolia-hook,

P. Panda-oleosa,

B. Dalbergia-hostilis,

M. Wild,

T. Pterocarpus-soyauxii,

, Paropsia grewioides Welw. ex Mast

, Anopyxis klaineana (Pierre) Engl

T. Sp,

, Ceci tient au fait que la présence ou l'absence d'une espèce abondante influe exagérément sur Je résultat global. Par ailleurs, comme dans l'exemple précédent, les valeurs des différentes classes temporelles des données, ne sont pas totalement indépendantes dans la mesure où, au sein d'une catégorie, certaines espèces peuvent fructifier plusieurs mois consécutifs. Là encore la variance ne peut donc pas être estimée et les différences ne peuvent pas être testées statistiquement. En conclusion, si le calcul de l'équitabilité peut se concevoir pour comparer des groupes d'espèces dont les effectifs sont élevés, la comparaison reste quali tative, -Le biais est encore plus important lorsque le calcul de l'équitabilité est effectué sur le nombre d'individus fructifiant et la variabilité reste très forte même pour de grands effectifs

C. , Tentative d'évaluation de l'importance des différences d'équitabilité entre les catégories d'espèces de la présente étude

, Ne pouvant estimer la variance vraie de ces mesures nous pouvons toute fois essayer d'évaluer le degré de variabilité sur des groupes de 32 ou 33 esp?ces choisies aléatoirement dans les 175 de l'échantillon. Sur 500 simulations effectuées sur des lots de 32 ou 33 espèces, 9 % peuvent atteindre des valeurs aussi faibles que 0,965 et 4 % des valeurs aussi fortes que 0,993. Il n'est donc pas sûr que la différence observée ait un carac tère significatif, tout au plus peut-elle indiquer une tendance. Les autres diffé rences moins importantes, Dans l'article qui précède l'une des plus grandes différences d'équitabilité est enregistrée entre le groupe des arbres moyens et celui des lianes (e = 0,965 vs

. Hutcheson, A test for comparing diversities based on the Shannon formula, J. theor. Biol, vol.29, pp.151-154, 1970.